Question design, on retrouve la structure aluminium unibody, allégé de quelques dizaines de grammes à 1,57 Kg, pour une épaisseur réduite d’un petit millimètre à 18 mm. Le clavier ne change pas, le trackpad non plus. Du côté connectique, le Thunderbolt 2 remplace le Thunderbolt, avec des débits jusqu’à 20 Gbits/s et la prise en charge des écrans 4K, on retrouve le HDMI, les ports USB 3.0, une prise casque une prise micro, une petite enceinte correcte sans plus.
Pour ce qui est de l’affichage, l’écran Retina en 2560x1600 pixels offre un rendu impeccable, quoi que toujours un peu brillant, les problèmes de persistance d’image qu’avaient connus certains modèles de la précédente génération ayant visiblement été réglés.
Pour ce qui est de l’affichage, l’écran Retina en 2560x1600 pixels offre un rendu impeccable, quoi que toujours un peu brillant, les problèmes de persistance d’image qu’avaient connus certains modèles de la précédente génération ayant visiblement été réglés.
Le MacBook Pro Retina fin 2013, toujours d'une pièce d'aluminium, légèrement affiné et équipé de la plate-forme Haswell d'Intel.
Les performances
Notre modèle de test embarque un processeur Intel Core i5 à 2,4 Ghz et 8 Go de mémoire DDR3 à 1600 Mhz. Cette configuration implique un premier surcoût de 100 € car ces nouveaux modèles n’intègrent de base que 4 Go de Ram. Comme celle-ci est soudée à lacarte mère, il ne sera pas possible d’en rajouter, et il est clair que votre MacBook ne sera pas aussi durable, ni aussi polyvalent avec seulement 4Go. Vous pouvez donc d’emblée considérer cet upgrade comme nécessaire. Le passage à 16 Go coûte 300 €, mais peu de tâches nécessitent une telle configuration.
Le portable chauffe très peu, même extrêmement sollicité, et il reste la plupart du temps silencieux. Les scores avec GeekBench donnent une amélioration des performances d’environ 10% par rapport au modèle de début 2013, bien répartie entre vitesse brute du CPU et vélocité du traitement mémoire. Cette évolution peut paraître marginale, mais il faut bien voir que les performances globales étaient déjà assez élevées. Au jour le jour, la différence de performance reste relativement peu perceptible, on gagne bien quelques secondes, voire quelques minutes, sur des opérations très longues, mais cela reste discret.
Le portable chauffe très peu, même extrêmement sollicité, et il reste la plupart du temps silencieux. Les scores avec GeekBench donnent une amélioration des performances d’environ 10% par rapport au modèle de début 2013, bien répartie entre vitesse brute du CPU et vélocité du traitement mémoire. Cette évolution peut paraître marginale, mais il faut bien voir que les performances globales étaient déjà assez élevées. Au jour le jour, la différence de performance reste relativement peu perceptible, on gagne bien quelques secondes, voire quelques minutes, sur des opérations très longues, mais cela reste discret.
Concernant le stockage
La réactivité du SSD est en revanche bien plus sensible. Le portable que nous avons testé est équipé d’un stockage Flash PCIe de 256 Go extrêmement rapide. La version de base écope d’un SSD de 128 Go seulement, qui sera assez léger. Pour augmenter le stockage, il vous faut sélectionner le modèle à 1499 €, qui dispose d’emblée des 8 Go de mémoire De fait, nous ne pouvons pas vous conseiller l’achat du MacBook Pro d’entrée de gamme, à 200 € près, il lui manque vraiment de quoi tenir dans la durée, ce qui ne sera pas le cas du modèle juste au-dessus. Le SSD, avec son interface PCIe permet quant à lui des gains de performance significatifs, la copie de fichiers met en moyenne moitié moins de temps que sur le modèle précédent, avec une vitesse de lecture aux environs de 500 Mbits/s et une écriture aux environs des 300 Mbits/s. Ça va très vite.
Graphiquement
C’est une puce Intel Iris 5100 qui assure l’affichage, qui s’en sort plutôt pas trop mal, avec des performances en hausse de 30% environ ave le test Open GL de Cinébench. Reste que vous n’en ferez pas une plate-forme de jeu, à moins de sélectionner une résolution inférieure, de régler la qualité sur les niveaux les plus bas, et sans ou avec peu d’antialiasing.
Autonomie et Wifi
Belles performances en matière d’autonomie, la nouvelle plate-forme Haswell permet de gagner environ une heure sur la génération précédente, en utilisation continue, pour atteindre environ 7h, avec utilisation en continu de la suite iWork, de Mail, et l’affichage d’un film pendant deux heures, bref, de quoi tenir une journée de travail et se permettre une bonne pause le midi ou le soir. Appréciable.
En Wifi, là aussi, ça va assez vite. Bien que le réseau sur lequel nous avons effectué les tests avec notre MacBook 13’’ soit très fortement saturé, le sans-fil a largement profité du passage en 802.11 ac (auparavant le MBP embarquait du 802.11n) et double quasiment son débit, pour tourner autour des 50 à 60 Mo/s.
En Wifi, là aussi, ça va assez vite. Bien que le réseau sur lequel nous avons effectué les tests avec notre MacBook 13’’ soit très fortement saturé, le sans-fil a largement profité du passage en 802.11 ac (auparavant le MBP embarquait du 802.11n) et double quasiment son débit, pour tourner autour des 50 à 60 Mo/s.
En conclusion
Cette machine dispose d’un excellent rapport puissance/poids, d’une bonne autonomie, d’un affichage hyper confortable et de capacités sans fil améliorées. Il lui manque un peu de puissance graphique pour pouvoir traiter mieux la 3D et les jeux. Enfin vous ne pourrez qu’à regret en rester à la configuration de base à 1200 €, pour faire durer cet investissement, la version 256 Go de stockage Flash et 8 Go de Ram à environ 1500 € semble bien plus recommandable.