Lors de la sortie de l’iPad mini, nous avions titré, ce que l’iPad aurait dû être. Il faut croire que nous n’étions pas les seuls à le penser. Le premier contact avec l’iPad Air rappelle furieusement sa petite sœur. Les bords de l’écran ont été tellement affinés, que le format entier de la tablette a changé. Et comme est elle est nettement moins épaisse et nettement moins lourde, la ressemblance est frappante. Sauf que, évidemment, l’iPad air embarque une tout autre technologie, comme nous allons le voir, et un écran 9,7 pouces Retina (la version Retina de l’iPad mini devrait pointer le bout du nez d’ici la fin novembre).
Premières constatations donc, la légèreté, avec ses 469 grammes seulement, on peut enfin tenir son iPad comme dans les pubs (d’une main et l’air détaché, donc) sans se faire une tendinite au poignet. Unibody aidant, les bords de la face avant ont pu être bien mieux traités, ils sont finement biseautés, et la sensation de tenue, de rigidité est absolue. On n’hésitera donc beaucoup moins à sortir sa tablette ailleurs que chez soi, et il est enfin complètement envisageable de l’utiliser dans le métro comme liseuse de magazines. Complètement ? Pas tout à fait quand même car le traitement brillant de l’écran Retina n’est pas de tout repos pour les mirettes. Heureusement que les pixels sont virtuellement invisibles (en 2040 x 1536, soit 3,14 millions de pixels à 264 ppp), la luminosité, le contraste et la colorimétrie excellentes, ce qui rattrape somme toute bien l’affaire.
Un petit tour de la machine laisse également constater la présence de boutons de réglages métalliques et non plus plastiques, l’apparition d’un second haut-parleur à côté du port Lightning, et la disparition du dos argenté pour un gris profond.
Premières constatations donc, la légèreté, avec ses 469 grammes seulement, on peut enfin tenir son iPad comme dans les pubs (d’une main et l’air détaché, donc) sans se faire une tendinite au poignet. Unibody aidant, les bords de la face avant ont pu être bien mieux traités, ils sont finement biseautés, et la sensation de tenue, de rigidité est absolue. On n’hésitera donc beaucoup moins à sortir sa tablette ailleurs que chez soi, et il est enfin complètement envisageable de l’utiliser dans le métro comme liseuse de magazines. Complètement ? Pas tout à fait quand même car le traitement brillant de l’écran Retina n’est pas de tout repos pour les mirettes. Heureusement que les pixels sont virtuellement invisibles (en 2040 x 1536, soit 3,14 millions de pixels à 264 ppp), la luminosité, le contraste et la colorimétrie excellentes, ce qui rattrape somme toute bien l’affaire.
Un petit tour de la machine laisse également constater la présence de boutons de réglages métalliques et non plus plastiques, l’apparition d’un second haut-parleur à côté du port Lightning, et la disparition du dos argenté pour un gris profond.
Quid des performances ?
Les caractéristiques précises de l’iPad Air sont disponibles sur le site d’Apple, inutile de les reprendre toutes, mais pour faire court, la nouvelle puce A7 intégrée, dual-core, 64 bits, cadencée à 1,4 Ghz, assistée d’une puce M7 dédiée aux calculs du compas, de l’accéléromètre et du gyroscope, double les performances globales de l’iPad par rapport à la génération précédente, tout en conservant, voire en améliorant un peu son autonomie (environ 10h)…
Juste pour le plaisir, j’ai fait passer toute une série de petits benchmarks aux iPad 2, 4 et Air, histoire de voire un peu comment les choses ont évoluées. L’iPad Air est un concentré de puissance, aussi bien en calcul brut par le processeur qu’en traitement 3D, mais jugez plutôt.
Juste pour le plaisir, j’ai fait passer toute une série de petits benchmarks aux iPad 2, 4 et Air, histoire de voire un peu comment les choses ont évoluées. L’iPad Air est un concentré de puissance, aussi bien en calcul brut par le processeur qu’en traitement 3D, mais jugez plutôt.
La puissance de traitement brute est doublée de l’iPAd 4 à l’iPad Air, et multipliée par plus de cinq de l’iPad 2 à l’iPad Air.
Les performances de l’accès aux données et l’efficacité de la mémoire (1Go sur l’iPad 4 et l’iPad Air) évolue très sensiblement, et clairement, on n’est plus dans le même monde qu’avec l’iPad 2 (seulement 512 Mo de mémoire).
À l’usage, la montée en puissance se ressent bien, les apps se lancent plus rapidement, les temps de calcul sont divisés, on gagne un peu partout en fluidité.
Je me laisse la nuit pour faire tourner des benchmarks centrés sur les rendus 3D et je reviens demain pour vous parler donc des performances graphiques, le l’appareil photo, du Wifi et de l’autonomie.
Lire la seconde partie
Lire la troisième partie
Je me laisse la nuit pour faire tourner des benchmarks centrés sur les rendus 3D et je reviens demain pour vous parler donc des performances graphiques, le l’appareil photo, du Wifi et de l’autonomie.
Lire la seconde partie
Lire la troisième partie