A rien.
A rien de plus que de tenir un blog ou même un site Web: dire quelque chose.
La différence, c'est la façon dont on le dit.
Sur mon blog perso, je peux faire des pages et des pages autour d'un film, d'une tasse de thé ou encore du balai perdu par Harry Potter, que j'ai retrouvé par chance. Des sujets vachement sérieux, vous le voyez. Sur Twitter, j'ai droit à seulement 140 caractères. C'est une sacrée contrainte, et une contrainte stimulante.
Mais alors, on y raconte quoi sur Twitter? C'est la question qu'un lecteur m'a posée sur Twitter, justement. Comme quoi, ça peut déjà servir à poser des questions(1) ;-)
Quant à savoir quoi y raconter, c'est à vous de voir: parlez de ce qui vous arrive, de ce qui vous intéresse, faites-nous rêver, rigoler, donnez-nous des infos,... Certains l'utilisent comme outil marketing pour (se) vendre, d'autres comme façon de se rendre populaire, etc. Il n'y a pas un bon et des mauvais usages: faites en ce que vous voulez, c'est ça la beauté du truc, et n'ayez pas peur de faire les choses autrement si ça vous chante ;-)
Si vous êtes en mal d'inspiration, vous pouvez déjà voir ce que votre serviteur et toute l'équipe du mag racontent dans leur Twitter. Suffit de cliquer sur les différents liens qui sont affichés dans la colonne de droite du site :
Pour apprendre à utiliser Twitter, je vous renvoie au dossier qui lui est consacré dans le dernier numéro.
(1): je vous préviens que je ne suis pas sur Twitter pour répondre aux questions. C'est pas une hotline, c'est une façon de bavarder. Je réponds si je peux, si je trouve le temps, si j'en ai envie, si je connais la réponse, etc. C'est totalement injuste et arbitraire, c'est vrai, mais si vous voulez lire le prochain numéro y a pas le choix ;-)
Je réponds (presque) toujours aux questions posées par e-mail ;-)